A une heure de route de Toulouse, Montréal et Bram, deux villages distants de sept petits kilomètres, se livrent à une rivalité entre les poteaux : les deux clubs de rugby s'affrontent depuis 80 ans. Mais un jour, un appel. Laurent Spanghero, repreneur de l'AS Bram, appelle le président du club de Montréal : "il faut faire la fusion". Pour faire survivre le rugby de village, les deux clubs n'ont pas le choix. Désormais, il faut apprendre à vivre à deux.