Dans chaque équipe les mécaniciens sont plusieurs à bichonner les montures des coursiers, et dimanche pour Paris-Roubaix ce sera pour eux un long dimanche de travail. Après avoir régler au millimètre les vélos ils vivront 6 heures de folie dans le sillage du peloton, prêts à sortir comme un diable de la voiture du directeur sportif une roue à la main, ils noteront les numéros des coureurs échappés pour le directeur sportif, passeront des bidons depuis la voiture, et effectueront des réparations à la volée en course. La victoire du coureur ce sera un peu aussi leur victoire, ils aiment tellement leur métier.