"L’exécutif espère un mouvement dur, il a besoin d’un mouvement dur, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire", a estimé ce mercredi Christophe Barbier, éditorialiste politique à BFMTV, alors que la grève des cheminots à la SNCF entre dans son deuxième jour. "Emmanuel Macron veut montrer qu’il a terrassé cette colère syndicale comme il a terrassé Mélenchon à l’automne, Marine le Pen au deuxième tour et les autres au premier tour", a poursuivi Christophe Barbier.