Macron demande à Poutine de faire pression sur Damas, pour que les accords de cessez-le-feu soient respectés dans l'enclave rebelle de la Ghouta. Le président français demande en outre à la Russie de "démontrer la pleine crédibilité de ses engagements" alors "qu'aucune évacuation des blessés et malades n'a été à ce stade autorisée par le régime" de Bachar al-Assad, précise l'Elysée dans un communiqué. L'Elysée considère que la Russie et l'Iran, les deux alliés les plus proches du régime syrien, "sont les deux pays qui peuvent faire bouger les choses s'ils s'engagent".