Israël a accepté de reporter les mesures fiscales qui avaient été décidées par la mairie de Jérusalem. Elles visaient notamment à récupérer les arriérés d'impôts locaux impayés par les bâtiments appartenant à l'Église. Des mesures qui avaient poussé les églises à fermer ces derniers jours le Saint-Sépulcre, lieu le plus saint du christianisme à Jérusalem.