Lors d'une réunion à Bruxelles mardi 23 janvier les ministres des finances de l'union européennes ont retiré huit pays de leur liste noire des paradis fiscaux dont le Panama, pourtant cité dans le scandale des "Panama Papers".
Quelles garanties le Panama a-t-il fourni à l’UE pour motiver cette décision ?
Manon Aubry, responsable de plaidoyer justice fiscale et inégalités pour l'Organisation Non-Gouvernementale Oxfam France répond aux questions des auditeurs d'Appels sur l'actualité.