Faut-il laisser le ministère du Budget seul juge de l'opportunité de poursuivre ou non les fraudeurs fiscaux ? Pour Éliane Houlette, auditionnée mardi par les députés, la réponse est non. La magistrate explique, exemples à l'appui, pourquoi cette procédure constitue un "véritable handicap" pour l'action des magistrats.