Cette année, la Turquie d'Erdogan a interpellé des fonctionnaires, des militants de droits de l'homme et des journalistes soupçonnés d'être proche de Gulen. Erol Önderoglu est accusé de “propagande terroriste” pour avoir soutenu une campagne de solidarité avec le quotidien kurde Özgür Gündem. Il risque 14 ans de prison