Alors que les plaintes pour agressions sexuelles ont augmenté de presque un tiers en octobre par rapport à l'année dernière à la même époque, les patrons de la police et de la gendarmerie nationales avouent avoir "encore de la marge" dans l'accueil des victimes. Ils misent sur la formation et se prononcent en faveur de la captation vidéo lors du dépôt de plainte.