Charlotte Gainsbourg : "Quand on a 19 ans et qu'on perd son père, il fallait que je reste la tête haute face aux gens qui me parlaient de leurs souvenirs"

2017-12-13 75

Léa Salamé reçoit Charlotte Gainsbourg à l'occasion de la sortie la semaine prochaine de "La promesse de l'aube" où elle incarne Nina, la mère de Romain Gary. Elle revient avec elle sur sa carrière de comédienne.

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Arnaud Montebourg : "Sur la question du chômage partiel, c'était à l'évidence ce qu'il fallait faire pour éviter que les entreprises s'écroulent et protéger les revenus des gens."

Fêtes de fin d'année : "Le chiffre des 6 personnes était surtout pour expliquer aux gens qu'il ne fallait pas que ce soit 15", estime Arnaud Fontanet

Robert Malley sur l'absence d'intervention américaine en Syrie : "Il y avait des gens qui pensaient qu'il fallait intervenir, Obama leur demandait : 'dites-moi comment on va en sortir', et il n'a jamais eu de réponse"

Elisabeth Borne : "Le président de la République a toujours dit qu'il fallait écouter tout le monde. Si on se renferme sur le petit cercle des gens qui sont spontanément d'accord avec nous, ce n'est pas comme ça qu'on fait avancer les sujets."

Jean-François Delfraissy : "Il fallait que les gens vivent, il faut continuer à vivre, sortir de ce coronavirus. Mais il faut vivre avec des mesures de distanciation. On est dans une situation en France qui est contrôlée mais qui est fragile."

Henri Leclerc : "Si on perd toute confiance, on ne peut plus rien faire. On défend des gens devant la justice, on est bien obligés d'avoir un minimum de confiance pour que nous n'ayons pas l'impression de parler dans le vide."

Ivan Jablonka : "En parlant de mes souvenirs, je reste historien, je voulais faire le portrait d'une époque"

Sabine Weiss : "Avec le numérique, on perd les photos. Je pense à toutes ces photos que les gens font toute la journée : pas grand chose ne va rester, ils ne les impriment pas."

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