Edouard Philippe a déclaré mardi qu'il souhaitait "des poursuites", "afin que des sanctions puissent être prononcées" à l'encontre des auteurs de menaces anonymes sur Twitter contre l'hebdomadaire Charlie Hebdo.
"Je souhaite, dès lors qu'une menace de cette gravité est proférée, quel que soit le média sur lequel elle est proférée, que des poursuites puissent être diligentées afin que des sanctions puissent être prononcées", a déclaré le Premier ministre devant l'Assemblée nationale lors des questions au gouvernement.