Facebook, Google et Twitter étaient auditionnés par les sénateurs sur les soupçons d'ingérence russe pendant la présidentielle américaine. Une séquence qui s'est révélée compliquée pour le représentant de Facebook. "Comment vous n'avez pas fait le rapprochement entre des publicités politiques et le paiement en roubles depuis la Russie (pour financer des publicités pro-Trump) ?", lui demande le sénateur démocrate Al Franken, rappelant à la firme ses facilités à mettre en relation des milliards de données. Malaise.