Ils étaient détenus en Turquie dans le cadre d'un procès pour "terrorisme". Mercredi soir, un tribunal d'Istanbul a ordonné la remise en liberté conditionnelle de militants des droits de l'homme. Parmi eux, Idil Eser, directrice d'Amnesty International en Turquie, mais aussi un Allemand et un Suédois. En revanche, d'autres sont toujours en prison, comme Taner Kiliç, président d'Amnesty International en Turquie. Il est accusé d'appartenir "à une organisation terroriste armée". "Nous continuerons à travailler jusqu'à ce que tous les défenseurs des droits humains et les journalistes soient libérés", a assuré sa collègue Idil Eser.