Stéphane de Groodt n’a pas toujours été le roi du jeu de mots. C’est ce qu’on l’apprend sur le plateau de l’émission de C8 "Salut les Terriens" présentée par Thierry Ardisson. A l’occasion de la présentation de la nouvelle comédie "L’un dans l’autre", l’acteur belge s’est confié sur son enfance, avouant qu’il était dyslexique, cancre et "gros, limite obèse". Sa mère l’amenait aux réunions de Weight Watchers. "Je m'en souviens bien. J'étais applaudi quand je perdais 100 grammes et j'étais hué quand j'en prenais 35. Ça marque un enfant de 15 ans" a-t-il déclaré. Stéphane de Groodt révèle alors qu’il avait pas mal d’arguments pour s’en sortir : "Vous voulez devenir plus mince, vous voulez vous exprimer correctement et puis vous voulez être plus performant dans ce que vous faites" a-t-il expliqué, avant de poursuivre: "J'ai fait une école de publicité où je me suis fait virer après un an et j'ai commencé à faire des raviolis". Une jeunesse donc compliquée pour l’acteur de 51 ans. Son nouveau film "L’un dans l’autre", réalisé par Bruno Chiche, sera en salles le 20 septembre.