C’est devenu son leitmotiv, voire même une véritable obsession. En pleine conférence de présentation du Championnat de France de foot féminin qui débute ce dimanche, Jean-Michel Aulas a une nouvelle fois fustigé le PSG et sa politique de transferts. C’est ce que l’on peut lire dans les colonnes de "L’Equipe" ce dimanche. Interrogé sur l’une des recrues lyonnaises, le patron de l’OL a déclaré : "Il a fallu payer car c'est un transfert, mais pas 222 millions d'euros !". Pourtant, d’après "L’Equipe", Jean-Michel Aulas ne se gênerait pas pour utiliser la même stratégie chez les femmes. En effet, le président lyonnais serait en train d’user une politique salariale très agressive pour récupérer Amandine Henry, l’une des stars du foot féminin qui devrait faire son retour en France. "Ce qu’il ne peut pas faire chez les garçons, il le fait chez les filles", confie même au quotidien Marie-Christine Terroni, la coach des féminines du Paris FC. L’Olympique Lyonnais lui promettrait 30 000 euros par mois, alors que le plus gros salaire de la formation parisienne est celui du coach, à hauteur de 8500 euros.