Le gouvernement a autorisé l'abattage de 40 loups jusqu'à fin juin 2018, un nombre égal à la période précédente, tout en annonçant vouloir réévaluer l'efficacité de ces mesures sur la protection des troupeaux, critiquées par les ONG. Un nouveau plan pluriannuel de gestion du loup a été promis pour janvier prochain, alors que depuis des années les pouvoirs publics échouent à concilier les demandes des éleveurs et les attentes des associations pro-loup.