Marcel Kittel : « C’est comme jouer au Tetris »
« Dans le final, nous n’avions plus qu’à travailler dur pour reprendre Bodnar, mais c’est un gars hyper costaud. J’espérais que ça suffise, je n’avais plus que ça à faire… et ça été assez. Juste assez. Pour moi, le sprint c’est comme jouer au Tetris, quand on sait exactement où l’on doit placer les pièces qui se présentent. Quand ça se passe bien, j’ai cette impression. Bien sûr il faut aussi de bonnes jambes, mais ce timing, je suis super content de l’avoir précisément sur le Tour, parce que ce n’est pas toujours le cas ».