Au génie de la nature, s’est associé l’homme qui a profité des années durant de ces gisements calcaires, transformés en sable ocreux sous l’effet de pluies diluviennes, après le retrait de la mer il y a des millions d’années.
De cette union est né un paysage fantastique, hérissé de falaises, de buttes de sable, de cheminées de fées.
Dans ce décor de western il n’y a pas de cowboys, mais il y a des vautours.
L’énigmatique Percnoptère.
Comme tous les vautours, il ne faillit pas à sa réputation de charognard !
Et s’il se nourrit principalement de cadavres et de déchets, il n’a rien contre des insectes, des petits reptiles, ou des oiseaux pour améliorer son assiette.
Depuis sa création le Parc du Luberon œuvre à préserver cet oiseau migrateur en déclin depuis des années.