Alors que François Bayrou présente son projet de loi sur la moralisation de la vie publique, les affaires pourraient bien lui coûter sa place. Et si son éviction du gouvernement n'a jamais été à l'ordre du jour, le Premier ministre a malgré tout dû recadrer le garde des Sceaux pour son appel à un journaliste concernant une enquête. Ce à quoi le ministre a répondu qu'il était attaché à sa "liberté de parole".