Pour estimer l'effet de l'urbanisation sur les pollinisateurs, il faudrait disposer de davantage de données, surtout sur des périodes plus longues. Le phénomène est en effet étudié depuis peu. Il y a du pour (l'absence d'insecticides et la présence de jardins) mais il y a du contre (l'air pollué, la nidification plus difficile et les ressources moins diversifiées). Comme d'habitude, certaines espèces généralistes, celles qui tolèrent des situations variées, s'en sortent mais les autres ne peuvent s'adapter.