Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a affirmé mardi 30 mai qu'il n'y avait "aucun fait concret" à l'appui des griefs faits à la Russie, de l'ingérence électorale à la persécution d'homosexuels en Tchétchénie, au lendemain d'une rencontre entre les présidents russe et français.