Plusieurs organisations du service public de santé britannique (NHS), dont des hôpitaux, ainsi que de grandes entreprises espagnoles avaient révélé vendredi avoir été la cible de cyberattaques.
Il s’agirait en fait d’une vague d’attaques informatiques simultanées qui a touché des dizaines de pays dans le monde. Les autorités américaines et britanniques ont mis en garde en fin de journée contre le logiciel de rançon utilisé, et conseillé de ne pas payer les pirates informatiques. Le logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d’argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l’usage : on l’appelle le « rançongiciel ».