Emmanuel Macron, le candidat du mouvement En marche !, s’en est pris respectivement à Jean-Luc Mélenchon, qui a refusé d’appeler à voter pour lui au second tour de l’élection présidentielle, et au souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui a fait alliance avec son adversaire du Front national (FN), Marine Le Pen.
Et d'expliquer que la première faute de M. Mélenchon est « de trahir les siens », notamment ses électeurs proches du Parti communiste, les ouvriers et les paysans, la jeunesse étudiante ou les cadres de sensibilité écologiste.
«Tous ceux-là , ils ont quelque chose à voir avec le ni-ni qu’il leur sert ?, a lancé M. Macron.
La plupart se sont battus, ont payé pour lutter contre les extrémismes, pour se rappeler cette vertu morale qu’il est en train d’oublier. »