Plus de 100 journalistes derrière les barreaux, 170 organes de presse fermés : depuis le coup d'Etat qui a visé le président Erdogan en juillet dernier, la purge n'a pas épargné la presse turque. Résultat : les médias traditionnels ne prennent plus de risque, et pour avoir une information pluraliste en Turquie, la nouvelle liberté, c'est Internet. (Afp)