D'après le rapport de l'Office européen de lutte antifraude (Olaf), Marine Le Pen a admis avoir salarié fictivement son garde du corps Thierry Légier, employé comme assistant parlementaire d'octobre à décembre 2011. Caroline Michel, journaliste à "L'Obs" qui a enquêté sur le sujet, répond aux questions des internautes en FacebookLive.