Relaxe pour l'instituteur qui s'était dit victime d'agression

2017-02-10 140

La cour d'appel de Paris a confirmé vendredi 10 février 2017 la relaxe d'un instituteur d'Aubervilliers poursuivi pour "dénonciation de crime imaginaire", après avoir affirmé qu'il avait été agressé au cutter par un jihadiste dans sa classe. IMAGES des dessins d'audience.

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