Dix ans ont passé. Les gosses ont grandi. Et les Lepic et Bouley font désormais partie de notre mémoire collective, avec leurs principes de bourgeois, leurs marottes de bobos et leurs gosses qui ont grandi, donc, et ont bousculé les cartes au passage (le fils Bouley est désormais un Bayrouiste convaincu). A l'heure des adieux, on mesure notre attachement et le poids de ces héros dans notre fiction nationale (à cet égard, ne pas rater les deux derniers épisodes signés par le Michel Leclerc, le scénariste du "Nom des gens"). Les quatre critiques de "Têtes de séries" font leurs adieux à "Fais pas ci fais pas ça".