Non, Marine Le Pen ne remboursera les 340 000 euros que le Parlement européen lui réclame. Pour son directeur de campagne David Rachline, «cette histoire n'a absolument aucun sens». Le sénateur du Var précise par ailleurs qu'une «plainte a été déposée contre l'Olaf [Office européen de lutte antifraude]», qu'il qualifie de «bras armé de l'Union européenne».