Le directeur de campagne de Marine Le Pen s'est expliqué ce mardi sur BFMTV sur les emplois présumés fictifs du Front national, pour lesquels la présidente du parti doit rembourser 300.000 euros avant minuit au Parlement européen. En cause: les emplois de deux de ses collaborateurs, dont une assistante. "Marine Le Pen a des déplacements régulièrement, elle n'est pas en permanence à Bruxelles", a justifié David Rachline. "C'est une persécution", a-t-il estimé, rappelant "qu'il n'y avait pas de décision de justice dans cette affaire".