Après une participation décevante au premier tour et deux lignes irréconciliables, il y n'a pas de "risque de disparition", mais un "risque de marginalisation" pour Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMTV. "Ça ressemble étrangement à ce qui s'était passé en Grèce avec le Pasok (…) Depuis près de 6 ans, il ne dépasse pas les 5%", remarque le journaliste.