Dur de voir ce qui pourrait provoquer un choc positif de croissance en France et nous ne prévoyons pas plus de 1,1% de hausse cette année. Le reste du monde ne nous aidera pas et les enquêtes de conjoncture auprès des entreprises, malgré leur récente amélioration, laissent peu d’espoir d’une accélération décisive capable de nous faire changer d’orbite. Difficile dès lors d’espérer une accélération brutale de la conjoncture interne à la veille des élections présidentielles.