Inerview du 22 septembre 2016.
Aurélie Dupont, moement de grâce... je dirais même plus un mogrent de masse, euh, un moment de grâce. (clin d’oeil à Hergé bientôt dans Passion Classique avec Albert Algoud)
La première fois que j’ai rencontré Aurélie Dupont, elle était encore sujet à l’Opéra de Paris. Nous l’avions suivie pendant un an jusqu’à sa nomination d’étoile pour Le Journal de la Création sur France 5. Elle était lumineuse, disponible, adorable. Un amour de cygne. Elle a gagné en vérité, en profondeur. Un amour de Swan. Pina Bausch est passé par là. Après une malheureuse parenthèse à la direction de la danse de la plus grande compagnie du monde (tout le monde peut se tromper, mais pas deux fois) gageons que ce choix-ci est le bon. Aurélie en a non seulement toutes les qualités mais aussi toute la légitimité.
Voici son programme :
- Berlioz, Les Troyens, “Marche des Troyens” (qui accompagne traditionnellement le Défilé du Ballet et qui sera donné pour l’ouverture de la saison les 24 et 26 septembre) par l’Orchestre Symphonique de Baltimore dirigé par D. Zinman
Extraits musicaux qui seront joués pour le programme Jiri Kylian donné au Palais Garnier du 26 novembre au 31 décembre :
- Stravinsky, Symphony of Psalms, par le London Symphonic Orchestra dirigé par L. Bernstein
- Gian Battista Pergolese, “Stabat Mater” par A. Scholl,B. Bonney et Les Talens Lyriques dirigés par C.Rousset
- Piotr Ilyitch Tchaikovsky, Le Lac des cygnes, “Valse” par la Philhamonia dirigé par H. von Karajan
Les Madeleines :
- Billie Holiday “I’ll be seeing you”
- Abhez, ”Nature boy”par Nat King Cole