Le sport est Japonais, mais les champions sont Mongols. La nouvelle année a été célébrée par un "Dohyo-iri", rituel ancestral effectué par trois sumotoris d'origine mongole. Ces lutteurs, au élevé au rang de "Yokozunas", classe la plus élevée dans la hiérarchie des sumos, surclasse leurs homologues nippons.
Certains Japonais ont d'ailleurs avoué être déçus que cette tradition soit célébrée par des étrangers, comme ce jeune étudiant de 16 ans: "Le sumo est un sport traditionnel du Japon, c'est donc un peu triste de voir des Japonais se faire battre par des étrangers."