En préambule de sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale, Bernard Cazeneuve a dénoncé les massacres commis à Alep. Le nouveau premier ministre a salué la position de la France, " une des seules nations à tenter de s'opposer dès l'été 2013 à une guerre totale menée par Bachar Al-Assad contre son propre peuple." Il a ajouté que " jamais nous n'accepterons au nom d'un prétendu réalisme de nous allier aujourd'hui avec les responsables du martyr d'Alep" interpellant ainsi indirectement François Fillon.