La grande nouvelle politique d’hier, ce n’est pas la victoire de François Fillon, elle était acquise au premier tour, mais la grande nouvelle, c’est la guerre déclenchée par Manuel Valls contre François Hollande, avec sa volonté de se déclarer prêt à aller à la primaire. Il est quasiment régicide non par les geste, mais par les mots. L’édito de Christophe Barbier.