« Nous avons probablement trop géré une avance, mené une campagne de rassemblement qui était peut-être une campagne de présidentielle et pas une primaire de la droite et du centre. J’imagine qu’il y a effectivement toutes ces erreurs-là », analyse Benoist Apparu, qui considère cependant qu’il est encore trop tôt pour tirer l’ensemble des enseignements d’une campagne de deux ans.