Si les sondages avaient prévu la remontée de François Fillon à la primaire des républicains, ils ne l'avaient pas pour autant donné avec plus 15 points d'avance au premier tour. Aux Etats-Unis, pire aucun sondage n'avaient donné Donald Trump vainqueur d'une élection à la mécanique certes complexe. En France baromètre incontournable de l'élection présidentielle depuis 1965, les sondages sont-ils devenus tout puissants, malgré une fiabilité contestée ? Font-ils les candidatures et les présidents ? L'info dans le rétro pose la question à l'historien Michel Winock et au vice-président de la SOFRES Jérôme Jaffré
Avec : Michel WINOCK : Historien .
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