En 2012, l'UMP avait vécu un véritable fiasco au moment de l'élection de son président, Jean-François Copé et François Fillon s'étant livré une guerre sur fond de fraude dans les urnes. Pour éviter que l'histoire ne se répète, la Haute autorité chargée de l'organisation de la primaire à droite a pris un maximum de précautions, en interdisant le vote par procuration ou en assurant la remontée des résultats via un site internet sécurisé par exemple. Au total, 72.000 personnes seront mobilisées pour encadrer les deux tours de la primaire.