Donald Trump a déjoué tous les pronostics en devenant cette nuit le futur 45ème président des États-Unis. Le candidat républicain bat sa rivale démocrate Hillary Clinton. « Le moment est venu pour nous de panser les plaies des divisions » a-t-il déclaré dans son discours. L’homme d’affaires a aussi adressé un message à la communauté internationale : «[px_nbsp:nbsp]Même si nous mettrons toujours les intérêts des États-Unis en premier, nous serons justes avec tout le monde[px_nbsp:nbsp]». Ce mercredi matin, Jean-Marc Ayrault, le ministre des Affaires étrangères, assure que le pays est un allié avec qui la France veut continuer à travailler «[px_nbsp:nbsp]dans la clarté[px_nbsp:nbsp]». Concernant la COP21, Ségolène Royal dit ne pas être inquiète.[px_nbsp:nbsp]Mais d’ajouter : «[px_nbsp:nbsp]Il faudra être vigilant et riposter[px_nbsp:nbsp]» à chaque tentative d’affaiblir l’accord.
Une victoire de Donald Trump qui a une raisonnance particulière en France, à six mois de l’élection présidentielle. Marine Le Pen a rapidement félicité le futur président. De son côté, Florian Philippot parle d’un «[px_nbsp:nbsp]vent de liberté[px_nbsp:nbsp]». Pour d’autres en revanche, cette élection est un signal d’alerte. Pour Xavier Bertrand, «[px_nbsp:nbsp]il est temps de se réveiller[px_nbsp:nbsp]». Jean-Pierre Raffarin, lui, est clair : «[px_nbsp:nbsp]Madame Le Pen peut gagner en France[px_nbsp:nbsp]».