Engagé dans cette primaire, le candidat écologiste avait déclaré début octobre qu’il ne croyait pas « qu’il y aurait un président de la République écologiste en 2017 ». « C’est du réalisme, j’assume mes propos, c’est le parler-vrai », explique-t-il. « Je crois que la situation de la France n’envisage pas un président écologiste dans six mois », déclare Yannick Jadot. «Ce que nous souhaitons c’est une écologie conquérante dans les institutions », continue-t-il. « Nous voulons des victoires aux législatives, avoir plus de municipalités et peser dans la vie politique », indique l’eurodéputé.