Une centaine de migrants mineurs ont accepté de quitter la "Jungle" après son démantèlement, pour rejoindre un centre d’hébergement du nord de la France. Certains ont refusé, et restent à Calais dans l’espoir de rejoindre un jour l’Angleterre, où beaucoup ont des membres de leur famille. Le Haut commissariat aux réfugiés des Nations unies tire la sonnette d'alarme et demande aux autorités françaises de s'assurer de la sécurité et de la santé des enfants présents sur place.