Air France dément des informations de l’hebdomadaire satirique “Le Canard Enchaîné”, qui révèle cette semaine plusieurs incidents liés à des employés radicalisés. La compagnie soulinie, via un communiqué, qu’‘aucun acte de malveillance n’a jamais été confirmé, ni même identifié.”
Dans son dernier numéro, “Le Canard Enchainé” évoque des “anomalies” sur des appareils, s’apparentant à des actes de sabotage, ou encore des tags “Allah Akbar” sur des trappes de remplissage de kérosène et des annonces de sécurité programmées en arabe. Le journal satirique raconte aussi l’exemple d’un agent de piste qui aurait refusé de guider un avion, car le pilote était une femme.
Toujours selon l’hebdomadaire, une dizaine d’employés du groupe seraient sous “surveillance” L’un des auteurs de ces incidents aurait depuis rejoint le Yémen.
Radicalisation. Des “anomalies” relevées dans des avions Air France, raconte Le Canard enchaîné. Et cet épisode inouï pic.twitter.com/nww8sUDB9h— Michel Grossiord (@MGrossiord) 4 octobre 2016