Si pour Mateo à Medellin, il était "logique" de voter non au référendum sur l'accord de paix avec les Farc, à Toribio, dans les montagnes du Cauca, Jimmy pensait au contraire que si tous disaient oui, la Colombie allait "changer". Au final, le non l'a emporté de justesse dimanche à 50,21%, ruinant les efforts de presque quatre ans de pourparlers et reflétant un pays profondément divisé après plus d'un demi-siècle de conflit armé. (AFP)