À sept mois du premier tour de l’élection présidentielle, l’échéance est dans tous les esprits et la campagne bat son plein. À droite, huit candidats sont dans la course à la primaire. Leur premier débat aura lieu le 13 octobre prochain mais la bataille des attaques et des petites piques a déjà commencé. Alain Juppé notamment essuie, depuis plusieurs semaines, les railleries sur son concept d’«[px_nbsp:nbsp]identité heureuse[px_nbsp:nbsp]». Pas de quoi visiblement le déstabiliser. « C’est un objectif et je n’en démordrai pas[px_nbsp:nbsp]» affirme le maire de Bordeaux[px_nbsp:nbsp]qui veut redonner «[px_nbsp:nbsp]espoir[px_nbsp:nbsp]» et «[px_nbsp:nbsp]confiance[px_nbsp:nbsp]» aux français.
Une course à la primaire que n’hésitent pas à commenter les adversaire politiques. Pour Marine Le Pen, les candidats de droite « ressemblent tous les uns aux autres[px_nbsp:nbsp]». La présidente du FN, confiante sur le résultat de son parti en 2017. «[px_nbsp:nbsp]Nous allons gagner parce que les grands choix que nous portons sont majoritaires[px_nbsp:nbsp]dans la pays[px_nbsp:nbsp]» a-t-elle déclaré. Pour Jean-Michel Baylet, la gauche devrait penser à se rassembler car selon lui «[px_nbsp:nbsp]la victoire est au prix de l’unité[px_nbsp:nbsp]». L’ex-président du Parti radical de gauche précise qu’en cas de primaire il y aura un candidat du PRG. De son côté, le PCF, lui, n’a pas encore tranché. Une démarche qui «[px_nbsp:nbsp]devrait -être saluée[px_nbsp:nbsp]» selon son président Pierre Laurent.