Au ministère de l’intérieur, on souligne que Calais «[px_nbsp:nbsp]n’a pas vocation à porter seule l’effort[px_nbsp:nbsp]» et «[px_nbsp:nbsp]qu’une solution de mise à l’abri doit pouvoir être proposée[px_nbsp:nbsp]». Actuellement, plus de 9 000 migrants se trouvent dans la «[px_nbsp:nbsp]jungle[px_nbsp:nbsp]».