Alstom - Alain Juppé (LR) : « Que faisait le ministre de l’Économie ? »

2020-01-02 6

L’usine de Belfort restera un site de production «[px_nbsp:nbsp]dans les mêmes proportions qui existent aujourd’hui[px_nbsp:nbsp]» a promis Alain Vidalies, le secrétaire d’État chargé des Transports. Hier, François Hollande a organisé une réunion interministérielle de crise après l’annonce par Alstom de l’arrêt de la production de trains à Belfort. Environ 400 postes sont menacés et certains craignent déjà un nouveau Florange. Le président de la République veut «[px_nbsp:nbsp]apporter des commandes[px_nbsp:nbsp]» pour sauver le site.  Un plan d’urgence dans lequel François Hollande joue le rôle de «[px_nbsp:nbsp]marchand d’illusion[px_nbsp:nbsp]» pour Jean-François Copé. Au contraire pour le député PS Eduardo Rihan Cypel, le chef de l’État est «[px_nbsp:nbsp]en première ligne[px_nbsp:nbsp]» pour se battre. 



L’État, qui siège au conseil d’administration du groupe, détient 20% des droits de vote. Alors certains s’interrogent : « Pouvait-il ignorer les intentions d’Alstom ?[px_nbsp:nbsp]». Impossible selon Éric Woerth pour qui le gouvernement est «[px_nbsp:nbsp]reponsable de la précipitation des décisions politiques[px_nbsp:nbsp]». Pour Alain Juppé, Emmanuel Macron a sûrement consacré plus de temps à sa «[px_nbsp:nbsp]petite start-up politique[px_nbsp:nbsp]» qu’à l’industrie française. L’écologiste Yannick Jadot décrit lui la situation comme un «[px_nbsp:nbsp]bal des hypocrites[px_nbsp:nbsp]». 



 



 


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