Samedi, Christiane Taubira avait dénoncé «[px_nbsp:nbsp]ceux qui font commerce de la peur, de l’angoisse, de la douleur d’autrui et vocifèrent sans respect des larmes[px_nbsp:nbsp]», en privilégiant «[px_nbsp:nbsp]leurs intérêts partisans ou leur impatience à s’emparer du pouvoir d’État[px_nbsp:nbsp]». Elle a aussi indiqué « rabâcher les sempiternelles récriminations fondées sur de seules motivations partisanes, c’est s’obstiner à déguiser la réalité, se réfugier derrière des incongruités confortables, se satisfaire de facilités aberrantes, se situer en deçà des nécessités régaliennes, et finalement nous exposer durablement au danger ».