Dix jours après l’attentat qui a fait 84 victimes sur la Promenade des Anglais, à Nice, la polémique sur la sécurité et la lutte antiterroriste ne faiblit pas. Le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et ancien maire de Nice Christian Estrosi est le premier à être monté au créneau pour critiquer le ministère de l’Intérieur, qui lui a répondu. Dernier épisode en date, une policière niçoise affirme que la Place Beauvau l’a obligée à modifier son rapport sur le dispositif mis en place ce soir-là.