Le député européen du Parti de Gauche a déploré "la gravité de cette situation", après la décision de la préfecture de police de Paris d'interdire la manifestation contre la loi travail. "Nous avons l'air d'être une espèce de pays où le gouvernement est dans un rapport de violence complet avec son peuple", a-t-il expliqué devant la presse. "C'est la responsabilité du président de la République de calmer le jeu", a-t-il ajouté.