Interdire des manifestations. C'est le message porté par une majorité de personnalités politiques, de gauche comme de droite, au lendemain de l'intervention de casseurs dans le cortège anti-loi travail parisien. Alors que le maire de Bordeaux (LR) Alain Juppé, et le Premier ministre, Manuel Valls, brandissent cette proposition, de nombreux élus, à l'instar du sénateur Jean-Pierre Raffarin (LR) n'hésitent pas à accuser la CGT de la présence de casseurs.